vendredi 27 mai 2016

Mon Enfance

Dans cet article, je "résume" les principaux événements de mon enfance, mais il est possible que je rajoute ensuite des passages suivant ce qui me (re)viendra à ce sujet.


L'Abandon de mon Père

J'ai été élevé beaucoup par mes grands parents qui étaient né en 1918 et 1920 (je suis né en 1983), après que mon père nous ai abandonnés (apparemment quand j'avais 9 mois, l'âge ou lui même avait été mis à garder chez ses propres grands parents, ce qu'il a sans doute vécu comme un abandon). Ma mère est allé vivre dans un HLM pas loin de chez ses parents (mes grands parents) chez qui j'étais très souvent, tous les jours, on mangeait presque toujours avec eux, je rentrais chez eux manger à midi quand j'étais à l'école.

Mon Enfance Chez Mes Grands Parents

Le premier événement "marquant" de mon enfance qui concerne plus spécifiquement les maltraitances c'est d'après ce qu'on m'a dit et donc je pense me souvenir quand j'étais relativement petit, quelques années, je ne sais pas vers quelle âge sans doute 3 ou 4 ans maxi mais je jouais dehors dans la piscine et je n'ai pas pu me retenir de déféquer, je pense qu'en fait j'ai eu peur de mon grand père ce qui m'a empêché de me retenir, mais plusieurs fois il m'avait menacé de me frapper quand j'étais vers lui et que je bougeais, il me disait ne pas pouvoir se retenir mais il me battait comme ça. Il m'empêchait de vivre, de bouger, avec lui on ne pouvait pas faire grand chose, on était sous menace permanente. Si je me laissais vivre et bouger avec ma vitalité d'enfant, j'étais vite menacé et rappelé à l'ordre.

Une fois j'ai essayé de parler en sa présence et il m'a répété : "t'es idiot, t'es idiot" jusqu'à ce que je me taise. Mais d'après les témoignages de mes oncles et tantes, on ne pouvait jamais lui parler, jamais on ne pouvait parler par exemple de ses relations avec ses propres parents, etc. Le matin que j'attendais chez eux pour aller à l'école, il écoutait la radio et on ne pouvait rien lui dire, il ne fallait surtout pas le déranger. Je me sentais souvent mal en sa présence, menacé, avec une sorte de malaise permanent. On ne pouvait pas vraiment communiquer avec mes grands parents et les autres gens n'étaient pas sympa non plus avec moi.

On est pas des gens riches ou ayant eu une vie facile et personne ici n'était vraiment sympa avec nous quand j'étais petit a part les connaissances de mes grands parents, les autres gens nous évitaient plutot comme à l'école à part deux copains proches que j'avais eu.

Mes grands parent ont connus la seconde guerre mondiale, ma grand mere a du servir d'esclave à des nazis qui avaient envahi la maison ou elle était avec sa famille. Bien qu'apparemment ils n'ont pas connue de proches déportés par exemple, mon grand pere est allé en vélo depuis la franche comté à nice dans les camps de travail pour la jeunesse.

Il a ensuite travailler à fabriquer des montres, mais là aussi il y a eu semble-t-il de sérieux problemes de relations certaines fois avec le patron qui les forçait à aller mettre de l'argent en suisse, une fois il parait que mon grand pere est allé en suisse déposer de l'argent avec ma grand mere (début des année 1980), personne ne sait de quoi il retournait et apparemment des employés de banque on relevé leur plaque et ils ont été arrêté à la douane, sans raison particulière, on ne leur disait rien et peu de temps ensuite ma grand mere a eu un infarctus. Ces suisses sont "rigolos" à faire la morale aux gens allant déposer de l'argent chez eux mais comment vont ils faire si ça devient interdit, leur niveau de vie en suisse va sérieusement baisser sans les apports des banques. Ma grand mere était d'ailleurs suisse (son pere est venu en france, il habitait à geneve avant).

Mon grand pere a du arrêter de travailler pendant un an quand il a été renvoyé de l'entreprise familiale ou il travaillait sans qu'on sache si il allait pouvoir reprendre, une grave dépression parait il (je parle là de quand j'étais pas né, durant l'enfance/adolescence de ma mere, oncles et tantes), il n'ont pas eu beaucoup d'argent, sauf avant la décolonisation de l'algérie ou apparemment leur affaire de montres était relativement florissante, je ne sais pas pourquoi il semble que la décolonisation les aient beaucoup empêchés de leur vendre des montres.

La maison ou je vit encore était très mal isolé, ils disaient dormir durant des années qu'il amménage mieux dans maintenant la salle d'établi qui avant que j'isole était comme à l'époque, très mal isolée, des vitres simples, il devait pas faire bon même avec des bonne couvertures et bien d'autre problèmes comme ça. La vie avec eux devait être pire encore que quand moi j'étais chez eux. Quand j'étais petit, le haut n'était pas chauffé et on avait relativement froid quand même, il fallait mettre une bouillote pour que le lit soit assez chaud en hiver.

Bien entendu, ils n'ont jamais été vraiment aidés par les autorités, même durant un an d'après ce qu'on m'a dit ma grand mere allait même porter à un voisin devenu a moitié paralysé de la soupe tous les jours parce qu'il ne recevait pas encore d'allocations apparemment (mais rassurez vous, les medecins l'ayant opéré du cerveau suite à semble-t-il un caillot ont sans doute été grassement payés tout de suite sans attendre...) .

Bien entendu, est-ce utile de le préciser, jamais les pseudos autorités et autres n'ont été sympa et normaux, ils n'ont rien fait réellement pour aider.


Ma NDE 

Etant petit, j'ai fait une NDE (expérience de mort imminente), je ne me souvient plus exactement à quel âge, vers 5/6 ans je pense. C'était grave, je dormais et je suis décédé temporairement parce que ma langue s'est coincée contre ma gorge, je n'ai plus pu respirer et mon cerveau a été privé d'oxygène, pire encore, lorsque je suis revenu, j'étais totalement paralysé, je ne pouvais même pas bouger mes yeux, j'étais aveugle aussi, tout ça temporairement, et j'ai même eu mal au coeur, une sorte de crise cardiaque peut être.  Je ne m'en suis pas souvenu sur l'instant mais c'était durant une thérapie que le souvenir m'est revenu même si je n'ai jamais osé en parler au psy. Mais déjà avant il m'était venu que j'avais été paralysé mais je ne comprenais pas pourquoi et je sentais bien que quelquechose n'allait pas dans mon corps.


Cette NDE n'a fait qu'amplifier les problemes que j'avais déjà à cause de ce que je subissais de mes grands parents, comme mes besoins en énergie qui n'étaient pas satisfaits. Je sais que sans cette NDE je n'aurais sans doute pas rencontré tous ces problemes notemment à l'école, parce que dans notre société, la majorité des gens n'aident pas les victimes mais les utilisent pour reproduire ce qu'elles sont subies, comme si les victimes demandaient à ce qu'on leur refasse ou que l'on continue de leur fait subir ce qu'on a subis dans l'enfance, comme si ce que l'on a subis dans l'enfance était ce qu'il fallait faire. La plupart des gens ne veulent pas être victime mais ils considèrent comme une offense qu'on ne veuille pas être leur victimes.

Peut être que j'écrirais un article spécifique la dessus pour détailler ce que j'ai eu durant cette NDE, c'est assez compliqué et je ne peux pas vraiment le résumer.

Je disais que ma langue était restée coincée contre ma gorge et ça m'a privé de respiration mais en fait c'est un voisin qui m'a manipulé avec son esprit pour me faire coller ma langue contre ma gorge et que j'arrête de vivre. Il me fait culpabiliser depuis petit parce que je suis le premier enfant de ma mere. Il se dit qu'il arrête si moi j'arrête (de vivre) même temporairement, en d'autre termes il m'empêche de continuer (de vivre).

Et encore maintenant souvent il recommence d'essayer, je sens ma langue comme prise d'un réflexe involontaire pendant un instant de se coller contre ma gorge.

Mais évidemment à qui voulez vous allez dénoncer ça, personne ne va me croire malgré que c'est la vérité, même des exemples de ce style sont trouvé dans les articles au sujet des agences secretes qui font appel à ce genre de personnes pour tuer à distance par exemple, ça existe réellement et c'est possible.

J'ai déjà remarqué ce genre de choses chez d'autre membres de la famille, peut être qu'ils sont aussi visé et atteints par ce voisins visiblement fou, même si je pense qu'il n'a aucune idée de ce qu'il m'a fait subir, je pense que lui aussi dormais, c'était la nuit, et qu'il n'en avait aucune idée. Je pense qu'il fait aussi culpabiliser le premier enfant du premier enfant de mes grands parents, autrement dit mon premier cousin du premier enfant (mon oncle) de mes grands parents mais il est moins touché étant plus loin physiquement.


La Mort de Ma Tante

En 1987 ma tante est morte d'un accident de voiture, et je me suis senti exclu puisque je n'ai pas pu aller avec eux à l'enterrement, à la place j'ai été mis à garder une semaine chez ma grand mere paternelle, j'en garde pas un bon souvenir, j'avais l'impression d'être laissé à l'abandon (un abandon émotionnel ou ce que je ressentais ne comptais pas) et de m'ennuyer tous le temps.

Il parait que je m'entendais bien avec elle, mais je n'en ai pas de souvenirs, là aussi elle a eu un accident étrange, sa voiture a fait plein de tonneaux sans raison apparente, sans ceinture, on ne sait pas ce qui s'est passé, suicide ou meutre déguisé en suicide  ? Elle avait eu des problèmes et était allée quelques temps dans une sorte d'asile ou maison médicalisée, je ne sais plus exactement. Je pense maintenant qu'elle avait été peut être la plus touchée par le caractère très fermé de son père mon grand père.


Souvenirs de l'Education

J'ai reçu une éducation très stricte, comme au début du siècle, heureusement que j'ai pu voir des cousins et cousines qui ont joué pour moi le role de témoin secourable comme le dit Alice Miller (http://www.alice-miller.com/le-role-decisif-des-temoins-lucides-dans-notre-societe/ ; http://www.alice-miller.com/?s=temoin ).

J'ai aussi eu une amie, une voisine, qui venait souvent chez moi, mais elle a du déménager quand j'avais 7 ou 8 ans, je ne sais plus exactement. Je me souviens quand elle est partie que je me suis demande comment j'allais faire pour supporter mes grands parents et tout ça tout seul, je me disais que je n'arriverais pas à retrouver d'autre amie, ce qui fut vrai. Je me sentais pas bien du tout, très malheureux, je me sentais mal et je me doutais bien que ce qu'on me faisait subir aurait des conséquences durant toute ma vie.

Mes grands parents étaient des tyrans, je ne pouvais en effet pas prendre à manger si j'en avais besoin sans permission, une fois ou je demandais quand j'avais 4 ou 5 ans à ma grand mere de me faire une tartine pour gouter, elle m'a crié dessus que j'avais qu'à la faire moi même. Je ne pouvais pas aller dans les chambre en haut à l'étage, c'était interdit pour me faire lui obéir en me causant des problèmes.

Dans ses livres, alice miller dit que l'obéissance pose des problemes avec le corps et elle parle beaucoup du corps et de ce que le corps a ressenti étant enfant et je vois bien pourquoi avec l'éducation que j'ai reçu, Alice Miller était pratiquement du même âge que ma grand mère et donc je peux mieux comprendre ce dont elle parle je pense quand elle parle de l'éducation de l'ancien temps, de son époque.

Ma grand mère était une férue de l'obéissance mais elle n'avait aucun respect pour le corps, que ce soit le sien ou celui des autres. Elle m'a empêché d'accepter mon corps et j'ai encore beaucoup de problèmes avec l'acceptation de mon corps à cause de ça.

Quand avec l'amie dont je parlais on est allé jouer une fois dans les chambre, ma grand mere est montée outrée quelques instants après et a dit d'un air faché "qu'est-ce que vous faites". Elle m'a provoqué (transféré) une peur des contacts ce qui fait que maintenant j'ai du mal pour en avoir, j'ai peur d'avoir beaucoup de contacts et pour respecter ce que je ressens (la peur), il m'en faut moins.

Elle ne respectait pas l'intimité de l'enfant, comme quand j'allais jouer avec cette amie ou encore même ado, j'avais toujours peur d'oublier de fermer la porte à clé de la salle de bain et qu'elle vienne ennuyer, une fois mon cousin était là ado et dans la salle de bain et elle a essayé de rentrer comme ça mais c'était fermé et alors elle à dit d'un ton moqueur "on sait bien comme c'est", n'ayant aucun respect pour l'intimité, elle était très abusive et intrusive. Je ne sais pas exactement comme elle même avait été éduqué à ce sujet, seulement qu'on l'avait forcé à arrêté l'école pour aller travailler avec ses parents.

J'ai vécu dans une ambiance de prise d'otage permanente, j'avais toujours peur, jamais je ne me suis senti bien ou tranquille, heureusement que ma mère avait un appartement dans un HLM pour que je puisse un peu respirer, même si là aussi il y avait eu des sérieux problèmes avec des voisins très ennuyeux voir dangereux par la suite.

Elle se mettait à piquer des crises parfois, incompréhensibles pour l'enfant que j'étais, j'étais tranquille et elle venait me crier de façon très menaçante "Arrête", une fois elle a même éteint la télé que je regardais sans explications et me disait d'un ton agressif d'aller jouer dehors. Je ne pouvais pas prendre à manger dans la réserve, une fois j'ai essayé et elle est venue tout de suite me prendre des mains le petit gateau que j'avais pris en me disant "c'est pas pour toi", elle était très méchante avec les enfants et leurs besoins , incompréhensive, et cherchait des prétextes pour nier les besoins de l'enfant. Elle était vraiment une esclavagiste qui empêchait l'enfant d'être lui même, d'avoir des besoins, etc.

Je pense même que pendant mon adolescence, ou l'on a besoin de manger plus j'ai du parfois être à la limite de ce dont j'avais besoin, parce que cette grand mere comme l'a souligné alice miller dans ces livres faisaient partie de celles qui interdisaient aux enfants le respect de leurs besoins. Comprenez moi bien, je parle bien ici de torture tout aussi horrible que celles qui font la une des journeaux, simplement les miennes étaient moins visibles mais tout aussi destructrices pour le fonctionnement normal de mon corps, mes grands parents étaient tout simplement des criminels envers moi, de négationiste de mon humanité comme les nazis qui me retenaient comme en otage mais dont j'avais malgré tout besoin pour survivre et auxquels je devais m'adapter malgré moi. J'ai été extrémement maltraité dans mon enfance de façon invisible. Les abus, maltraitances, tortures, etc sont avant tout émotionelles au début et deviennent corporelles (plus visibles) ensuite.

Mon grand père avait un sérieux problème avec moi et voulait me faire mal au dos une fois il m'a mis un coup de pied derrière au prétexte que j'avais cassé une pale d'une maquette d'hélicoptere, mais il me demandait toujours de l'aider à prendre la bouteille de gaz bien trop lourde pour moi même quand j'avais 10 ans et aussi une fois sur le canapé je m'étais bien assis, avec des coussins derrière mon dos pour ne pas voir mal et être bien assis et il est venu s'assoir à coté et à pris un coussin me disant que c'était pour les vieux ça et ça m'avait fait mal à dos comme je m'étais appuyé dessus, il l'a tiré d'un coup. Je ne sais pas pourquoi il voulait me faire ça.

Il m'était interdit de me plaindre, de dire que ça n'allait pas, que c'était trop pour moi, de savoir ce que je ressentais, ce que je voulais, etc.


Les Contacts

Il m'était interdit d'avoir des contacts en dehors de la famille, par exemple mon grand père a refusé de me payer un simple billet de train pour aller revoir la fille dont j'ai parlé au début qui venait toujours chez moi et qui avait déménagé, ils n'avaient aucun respect pour les relations humaines normales, les relations en dehors de la famille étaient comme interdites.

Je me suis dit plusieurs fois que j'aurais préféré mourir ou ne pas venir au monde plutot que de subir tout ça et de devoir vivre comme ça, comme à moitié mort ou comme enfermé en prison dans l'enfance alors que (ou plutot parce que) j'étais innocent.

Durant mon adolescence, je passait souvent du temps à me demander comment avoir des contacts avec des filles, des relations sexuelles et amoureuses avec elles, j'avais de moment de grande tristesse parce que j'avais compris que l'on voulait m'empêcher d'avoir des ami(e)s, d'abord par ma grand mère surtout qui refusait ce à quoi j'avait droit (d'avoir des besoins, une vie normale, des amies) et ensuite avec les pseudos autorités qui ont passé leur temps à "finir le travail" de sape de mes grands parents, comme les enseignants mais aussi même les chauffeurs de bus qui passaient leur temps à m'écraser et me manipuler dans les bus, jamais je ne me suis senti bien dans les bus, j'étais toujours écrasé par le chauffeur, considéré comme un objet , dans les bus on est maltraité au point que j'ai eu souvent mal au dos, des malaises, simplement d'avoir pris le bus, les sièges, la suspension, etc sont mal faits mais c'est fait "exprès" pour que les gens ne soient pas bien traités mais maltraités "pour le bien".

Depuis petit, la maternelle, j'avais qu'un copain que je voyais très souvent en dehors aussi de l'école, jusqu'au lycée environ mais ensuite il n'était plus très sympa. Mais c'est une des seules personne a avoir vraiment fait attention à moi, a part un autre copain qu'on a eu en commun au milieu de college que j'ai continué de voir jusqu'au lycée ou là aussi on a été empêché par les enseignants de continuer d'avoir des relations amicales.

C'était comme avec mes grands parents à l'école ou dans les bus, on ne peut pas y vivre , bouger, avoir un comportement normal surtout si on est jeune et plein de vitalité, on est rappelé à l'ordre par le chauffeur qui prétexte la sécurité mais qui en fait ne supporte pas la vitalité de la jeunesse (ces controleurs sont en réalité de vrais tueurs).

J'ai été éduqué dans une tyrannie, bien sûr pourtant mes grands parents se faisaient un devoir d'aller voter pour la démocratie et aussi tous ces enseignants et autres fonctionnaires d'état de la démocratie ne m'ont jamais aidé, ils m'ont même enfoncés (même une thérapeute me l'a confirmé) et n'ont jamais fait quoi que ce soit réellement pour moi mais seulement pour m'utiliser comme leur bouc émissaire tout en prétendant que c'était pour mon bien.

J'étais souvent chez eux pendant les vacances aussi, je m'ennuyais, je regardais beaucoup la télé, je voyais aussi un ami fidèle que j'avais de l'école que j'ai eu jusqu'au lycée. Je sortais quand même assez souvent dehors puisque c'était une maison dans la campagne avec un terrain assez grand mais là aussi j'étais très seul. Heureusement que j'ai eu quelques animaux de compagnie.



Les Chats

J'ai eu plusieurs chats qui ont joués le role d'amis pour moi, dont une minette avec qui j'étais très proche.

Roux et blanc

Ce chat était le premier chat que j'ai eu, malheureusement il est mort d'après la vétérinaire d'une occlusion intestinale.

La minette

La minette qu'on a eu pendant une quinzaine d'année, elle était encore là des années après que j'ai arrêté l'école était une véritable amie, je m'entend bien avec les chats, souvent ce sont eux qui viennent vers moi. Elle était venue toute jeune avec ses deux petits dans un bucher de bois, et je lui donnais en cachette des croquettes, ma grand mere disait qu'elle ne voulait pas et après quelques temps cette minette est venue vers moi d'elle meme quand j'étais assis au dessus d'un muret. Quand elle est morte ça m'a fait un choc, je ne me suis plus jamais senti aussi bien qu'avec elle. Quand j'ai du arrêté l'école, je m'en suis voulu ensuite d'être resté dans l'appartement de ma mère sans aller plus souvent la voir, je ne sais pas pourquoi je restais comme ça, sans doute qu'on m'avait encore manipulé pour m'empêcher d'aller vers ce qui m'allait, comme avoir des contacts à l'école, vers des amis et vers cette minette qui jouait aussi le role d'amie pour moi.


On a eu d'autres chats ensuite, et en fait le roux et un autre male sont mort d'accidents non naturels (patte arrachée), et les deux minettes sont devenus agées et mortent de vieillesse, mais ça correspond bien à l'ambiance ici, ou le sexe masculin est considéré comme le mal et devant être battu, maltraité, blessé, etc .




Mon Père

Je voyais quelques fois mon père, j'allais chez lui quelques jours à Paris, ou il habitait, je me souviens surtout de m'être beaucoup ennuyé, de ne rien pouvoir faire de ce que je voulais, de ce qui me plaisais, une fois il m'a fait croire qu'on irait au concert d'un chanteur pour enfant mais ça n'était pas vrai. La thérapeute me disait que mon père est un de ces pervers narcissiques qui ne sont jamais authentiques, qui jouent sans cesse la comédie pour toujours "mieux" tromper.

Je ne me sens jamais bien dans mon corps avec lui, il ressemble à ma grand mère maternelle dans ses attitudes et son comportement envers (contre) les enfants, très dur, très violent, méchant, voulant du mal aux enfants même sans le savoir, ça doit être pour ça que ma mère l'a choisi, ça lui rappelait sa mere.

Plusieurs fois j'ai demandé à partir plus tôt que prévu de chez lui parce qu'il m'insupportait et je me sentais très mal et je sentais que je devais m'en éloigner pour mon bien. Même au téléphone il se met à hurler sans raison, une fois petit il se met à crier que je suis malade, ou encore quand je lui demande d'aller chez un psy avec moi il se met à hurler "c'est pas la peine si c'est pour jouer à la petite famille merdique". Il n'avait comme la plupart des parents aucun respect pour ce que l'enfant ressent et ses émotions, il m'a fait rater ma vie.

Par exemple il n'a jamais participé financièrement, j'ai demandé pour de l'aide à payer un gros probleme dentaire et il a jamais répondu, jamais il n'a mis d'argent de coté pour moi sur un compte par exemple, il a donné un temps de l'argent à ma mère mais elle n'a plus voulu, il disait que c'était pour l'enfant mais donc jamais il n'en a mis de coté pour moi par exemple, c'était sans doute encore un mensonge de sa part, une manipulation pour se faire passer pour quelqu'un qui se soucie de l'enfant.  J'avais essayé de demander à un tribunal pour obtenir une pension ou une compensation mais tout de suite on me dit que j'ai qu'a travailler mais que je travaille ou pas n'y change rien, j'avais pourtant bien expliqué que jamais il n'avait fait quoi que ce soit réellement pour moi. Mais ça fait longtemps que j'ai compris que ces tribunaux sont du coté de l'injustice et des tortionnaires.

Le pire est quand peut avant que j'ai arrêté l'école, il est revenu vers moi, passant chez sa mère ma grand mere que je voyais moi encore assez souvent, il semblait sympa et ouvert mais ça n'était qu'un leurre pour mieux me prendre à nouveau dans son piège. C'est un harceleur (manipulateur) "hors pair" qui abuse et manipule son entourage à tout va, en plus il est fonctionnaire dans la culture, il doit se sentir bien protégé pour pouvoir abuser tous le temps comme ça. Les fonctionnaires sont payés non pas à faire fonctionner mais à entretenir la culpabilité qui a pour fonction de bloquer mais ce sont comme de véritables tueurs qui nient (bloquent) les liens de la vie et le véritable moi, la véritable personne. Ils sont l'incarnation de l'incompétence pour la personne et je connais bien le probleme j'ai d'autres fonctionnaires dans la famille. Autrement dit ils entretiennent la culpabilité.

Quand j'ai arrêté l'école, on m'a forcé à aller le revoir, moi je ne voulais pas du tout le revoir sachant qu'il allait faire que m'ennuyer et me rajouter encore des souffrances, des nuisances, mais on ne m'a pas demandé mon avis, et dès que je suis arrivé à pied vers son appartement, je me suis senti très mal, comme si j'avais été tué par derrière et en fait c'était lui qui arrivait par derrière, il était au café et nous a vu passer.

Souvent au début il se comporte normalement et ensuite devient très ennuyeux pour n'importe quel prétexte, en accusant bien sûr l'enfant d'être sa victime. Il se contente maintenant de m'ignorer et bien sûr essaie de faire croire comme d'habitude avec les parents que c'est de la faute à celui qui subis les conséquences de leur ignorance, de la faut à celui qui subis leur culpabilité qui empêche de vivre.

La mère de mes demi soeurs m'a dit avoir divorcé parce qu'il passait son temps à crier sur l'ainée dès qu'elle a commencé de parler. Une des dernière fois ou je l'ai vu, il recommençait d'être insupportable et de se faire passer pour la victime parce qu'on ne joue pas on jeu (un vrai psychopathe !), le matin il était devant la cuisinière pour chauffer de l'eau, il me demande si je veut de l'eau bouillante, je dis oui, et il commence à faire sa comédie, me dire que je veux la renverser sur son amie, etc, tout un cinéma comme pas possible, une fois avant au début ou je l'avais revu avec mes demi soeurs, ils ont commencé lui et sa copine de hurler sur mes soeurs sans raison, l'ambiance était très tendu, agressive, et le moindre prétexte était utilisé pour les "matter". Il ne voulait apparemment même pas qu'elles appellent leur mere une fois par jour, ils prétendait que ça faisait trop mais ça n'est pas la vrai raison, avec lui tout est mensonge.


Ma grand Mère Paternelle

J'allais la voir tous les mercredi et là aussi j'aimais bien parce que ça changeais mais je n'aimais pas sortir dehors, je regardais la télé pas mal ou jouait à des jeux vidéos il m'arrivait d'avoir très envie de m'en aller et d'aller revoir ma mère mais en fait il semble que c'était plutot ce qui se préparait pour moi, c'est à dire le fait que j'ai du arrêter l'école et devoir rester vivre avec ma mère.

J'avais une cousine là aussi que je ne voyais que quand on mangeait, je n'osais pas tellement aller vers elle, discuter avec elle, toujours cette impression de ne pas devoir déranger. Je n'ai plus de contact avec elle, quand j'ai arrêté l'école, peu après la mort de cette grand mere paternelle, j'ai essayé de l'inviter à une séance chez le psy mais elle n'est pas venue et j'ai rappelé et elle se fachait, disait qu'elle était venue, mais qu'il n'y avait personne, et elle a crié " je ne veux plus te voir", elle est en fait devenue un peu comme mon pere élevée donc par la mere de mon pere qui était en apparence sympa mais très agressive par derrière je trouve.

Conclusion

J'ai eu une enfance très dure, très cruelle, mais personne n'a jamais cherché à m'aider vraiment, la plupart des gens ne font que protéger les parents et tout qu'ils font: leur maltraitances, l'éducation, l'ambiance cruelle et malfaisante.

Je suis souvent pris comme bouc émissaire par même des adultes et autorités publiques, dès que j'essaie d'avoir une vie normale, je suis menacé immédiatement par la police/gendarmerie par exemple, surtout quand j'ai des relations amicales et agréables avec des femmes qui sont sympa avec moi.

Par exemple voilà ce que m'a répondu une psy au sujet de problemes que je lui ai signalé dont j'étais victime, en fait on m'utilise comme bouc émissaire de ce qu'on fait subir aux enfants parce que j'ai gardé contrairement aux adultes en général une sensibilité aux enfants :

Simplement parce qu'on m'a vu parfois lorsque je vais en vélo vers des enfants qui étaient dehors et qui venaient vers moi gentiment, voyant que j'étais sympa avec eux, de simples relations normales et amicales sont interdites par la gendarmerie qui est venue m'arrêter pour ça (https://harcelement-ecole.blogspot.com/2016/07/le-harcelement-dans-le-village-de.html ; https://archive.is/Am2pB). Ils veulent sans doute interdire aux enfants d'avoir ce qu'alice miller appelle des témoins lucides (comme moi accusé de déranger avec ma lucidité) qui aident l'enfant à discerner la violence et la cruauté de ce qu'ils subis et donc à s'en libérer :


"Merci pour l'envoi des liens que vous faites régulièrement et qui sont très souvent évocateurs et toujours le reflet d'un déni ahurissant. L'histoire du village de "Blamont" ressemble à une mise en scène un peu comme une ambiance "mystérieuse, anxiogène", où on laisse planer un danger potentiel, ça doit être très inquiétant pour les enfants qui doivent probablement ressentir un malaise et peut-être même être effrayés pour certain. C'est vraiment très bizarre, on dirait la mise en place d'une psychose mais dans quel but!! "

"C'est de l'acharnement contre vous!! Il n'est peut-être pas nécessaire de vous exposer ainsi sur des réseaux sociaux pour recevoir des "coups de bâton"...  "


"Il semblerait que vous êtes devenu la cible des gens de ce village et des alentours, comme une personne suspecte qui roderait de manière malsaine du côté des enfants... Les rôles s'inversent on dirait, attention que tout cela ne se retourne pas contre vous, votre lucidité dérange les gens de ce village... "


Quand on est une victime, les pseudos autorités et la plupart des gens ne vous aident pas mais vous utilisent comme leur bouc émissaire.


Rêves et Souvenirs 

Je me souviens que j'étais en primaire, pendant les grandes vacances, on m'avait mis sans me prévenir avant au centre aéré, je me suis ennuyé comme pas possible, à midi au moment d'aller manger on m'a emmené à la cantine alors que je n'avais rien pris à manger comme pic nique, on m'a ramené chez moi voyant que je n'avais rien à manger, mais aucun des accompagnateur adultes ne m'a parlé ou demandé quoi que ce soit à ce sujet, ni mes grands parents ni ma mère ensuite ne m'ont dit quoi que ce soit, il était comme interdit de poser de questions sur ce qui se passait.

Je me suis souvenu aussi qu'une fois en primaire il me semble, un matin je m'étais dit de ne pas aller à l'école et je n'y étais pas allé et mes grands parents n'ont rien dit, ils m'ont ignorés toute la matinée, et ma mère je lui ait dit que je n'étais pas allé à l'école et elle m'a ignoré, je vivais dans une ambiance d'ignorance presque totale, ou je ne pouvais pratiquement rien demander, quand je posais des questions je ne recevais aucune réponse.

Je me souviens une fois avoir demandé à aller chez le médecins, ne me sentant pas bien du tout et l'on m'a répondu de façon agressive "on y va pas pour ça" ...

J'ai d'autres souvenirs qui sont revenus,  quand j'étais plus petit, on dormait chez mes grands parents assez souvent et parfois une fois couché, je me mettais à appeler ma mère me disant que j'avais peur d'être tué en dormant, et à cette époque je ne m'en souvenais pas que ça s'était déjà produit quand j'étais plus petit comme décrit plus haut, j'avais bien pensé que ça s'était déjà produit quand j'étais petit mais je n'y avais pas cru.

Pendant une période à l'école, je me grattait le centre de la tête jusqu'à ce que ça saigne un peu et je ne sais pas pourquoi je me disais que ça me faisait du bien, c'était lié je pense à la cruauté que je subissais sans vraiment le savoir que je me (re)faisais subir.

J'ai eu beaucoup de rêves qui me montraient ce que je subissais réellement, maintenant j'ai du mal de m'en souvenir autant et ils me montraient aussi pas directement mon futur mais plutot ce qui se préparait déjà avant quand je rêvais.

Mais à l'époque je ne comprenais pas que c'était la réalité, par exemple un rêve qui m'a beaucoup marqué qui semblait contenir ou synthétiser les problemes que j'ai eu avec la police/gendarmerie qui me harcèle depuis tout petit en fait à cause de la NDE que j'ai fait quand j'étais petit.

Je rêvais que j'étais tranquille et que quelque chose qui venait de chez le voisin qui m'a tué et provoqué cette NDE quand je dormais m'a provoqué de nombreux problèmes de sécurité, et que deux policiers/gendarmes allaient venir de part là pour ces problemes de sécurité (ça représente le fait que j'aurais eu besoin de sécurité) mais qu'ils ne me verraient pas ou m'ignoreraient sciemment. En fait maintenant je pense qu'ils sont comme aux ordres de ceux qui m'ont fait du mal dans l'enfance au lieu de me protéger en tant que victime ils protègent ceux qui font du mal aux enfants innocents.

C'est ce qui s'est passé plusieurs fois comme je le raconte dans l'autre blog, ou les gendarmes cherchent à m'ennuyer et me harceler dès que je commence d'avoir des connaissances comme à blamont ou ailleurs. La psy disait que ma lucidité dérange et ce rêve semble en être la preuve, puisqu'en fait ils venaient essayer de m'arrêter moi parce que j'étais conscient de ce que l'on me faisait subir, tout simplement. Dès que l'on voit la réalité en France, on est persécuté par les pseudos autorités.

Ce rêve semble aussi contenir l'épisode avec les douaniers en allemagne qui nous ont arrêté (comme à chaque fois ils étaient deux) et qui m'ont bien ennuyés en me faisant comme régresser comme j'étais lorsque je suis sortir de ma NDE puisque je disais que ce rêve m'a marqué et qu'on allait justement à une zone commerciale de marques juste à coté de la frontière...

En terminant d'écrire ces souvenirs, il me vient à quel point je me suis senti toujours seul avec tout ça, comme je n'ai jamais pu vraiment en parler et le partager avec quelqu'un capable de m'écouter et de me comprendre, surtout dans mon enfance.